. Tu le connais, le monde du rêve ? Celui où il pleut les nuages, tendrement et au bon moment. De la neige au printemps, gentille et douce. L'orthographe est difficile, le travail aussi. Travailler, dessiner, voir ; Voir, penser ; Penser ; comprendre ; On ne sait tout cela, c'est compliqué. Les choses seraient plus simple, plus fraîches, plus douces, plus belles. Les mondes sont en rêves, alors, pourquoi pas en vrai ? Impossible, pas réel .... Beaucoup de choses seraient possibles, si nous parlions, rêvions, pensions des mêmes choses, si nous avions des vues un peu plus fertiles. Ça nous, ça me perd tout cela. Des manques sont réels, des mots ... manquants, vraiment. . Voyez-vous, si nous partions, parlions d'un autre monde, autre temps, autre espace : Autre rêve, pays imaginaire ! ? Réél, irréel ; Les choses ne seraient peut-être pas les mêmes, pas pareilles. Peut-être, connaitrions nous mieux nos congénères, nous leur serions plus proche ; Nous aurions du temps pour cela, beaucoup de temps. Voilà d'ailleurs comment, pourquoi ? Comment, et, et ... Et pourquoi Oui ? Pourquoi Non ? Pourquoi tout cela. Pourquoi la vie, la mort ; La mort, la vie, pourquoi pas ? Pourquoi oui, pourquoi non ? Pourquoi ciel et terre ? Pourquoi terre et feu ? Pourquoi tendres passions, saveurs inoublia-bles ? Pourquoi oui, pourquoi non ? Pourquoi ne plus, ou ne pas en finir : " finir ! " ? L'écriture est un piège, toujours et encore, encore et toujours. . L'amour est un rêve. Réel, irréel? Il permet, semble t'-il, de nombreuses choses, de nombreux effets. Réel, irréel ? On ne sait tout à fait. Certains doutent, ils ne croient, mais ... . Nous avons, nous aurions le droit de dire, d'écrire. De faire la vie plus facile, plus douce, plus gentille, moins fragile ; De la penser, de la rêver, de l'imaginer ; de la peindre, de la ... Moins de papier, de "paperasse", des ensembles plus faciles, moins durs, plus colorés. Comment ?? Là, sont les questions ...
Des facilités, du temps gagné, des bons sens, des raisons, cela est , serait intéressant. Comment faire, pour que l'on "s'accorde" tous, ensemble ? Cela ne veut rien dire. Pas de palaces, pas de blé d'or, juste quelques révoltes passagères au gré du vent, du temps et des sens. . En fait, il faudrait qu'il n'y est plus d'hommes ; Non, plus. Il n'y aurait que des enfants, là, partout, dans un grand jardin aux senteurs de roses et de lilas. Des balançoires, des voiles, des tremplins, des, des... Des glaces géantes au gout de vanille, du soleil à profusion ; De grands arbres pour de l'ombre bien fraîche, des chênes vermeils.. Quelle merveille ! Des pluies bien tombantes, les gouttelettes ruissèlent ; De l'eau, du sable, des plages pour ceux qui aiment. Des enfants, du sable, plus d'hommes, que des enfants partout dont, nous ferions partis. Fille, garçon, peu importe, les choses seraient simples et naturelles, sans peine, ni haine. Il faudrait faire avec les choses alentours ; Bien observer, bien étudier (se creuser l'esprit) et agir en conséquence. Nous améliorerions les paysages, sans aucun doute. Nous serions des enfants pensants, "réflexionnants". Pas des bêtes, ni des monstres ; Des enfants, petits, grands, avec une tête, une cervelle bien remplie, bien plantée, bien ancrée sur les épaules. D'ailleurs, si nous avons tous une bien belle, bien bonne tête, avec toute l'intelligence qui va avec, alors, peut-être, nous sera-t'il permis de grandir un peu plus. Des hommes et des femmes futurs, grandissant du temps, de l'âge des saisons. Certainement qu'il y aurait des vaches, des veaux, des ... boeufs .. amis des petits hommes et de la terre ; pour du bon sevrage. De l ' herbe coupée, tondue, transformée, mutée pour du bon lait nourricier... Quelle mécanique vivante surprenante, quelle nature explosive. ! De quoi étudier pour ceux qui veulent. Il y en a pour tout les goûts, pour toutes les couleurs. . Dans ce parc, plus grand que le "Monde", il y aurait, il y aura, des mots explicatifs et expressifs ; Des sensations, des parallèles, des trajectoires, du savoir, et non pas des "Maux". Il y aurait, aura, de la courtoisie, de la passion, de l'espace, du miel édulcorant ; De l'amour, du partage, de la grâce à profusion et même quelques maladresses. Des petits "palais", palaces personnalisés seraient, il fera bon chanter. "Palais", palais, le goût serait, aussi ; Des fraises, des myrtilles, des framboises, des groseilles ; Des jardiniers plein partout, avec des salopettes trop grandes ; des petits marchés pour les échanges et les partages. Des métiers, du travail, du bricolage pour tous, sauf, pour quelques malades, blessés passagers : une chute resterait une chute, et il faudra apprendre à être sage avec soi-même et les éléments alentours. Aussi, il y aurait des bûcherons, nains, protégeant leurs bois sauvages ; Des menuisiers, des tables, des chaises en dentelle. Habiller avec imagination et couleurs ce vaste territoire serait un vrai bonheur, mais .. Travailler, échanger, créer, tout cela c'est du temps. La monnaie serait-elle ? Chacun ferait, fera ce qu'il veut et s'emploiera. Le coquillage à un prix, l'or, le blé aussi. Toute notion de temps, d'actions pour autre que soi entrainent des notions d'échanges ou de partages, même si la terre appartient à tous. L'argent n'est pas un contre-ordre mais, une facilité en terme pratique. Il permet des échanges de compé-tances, de produits, de services, de façon trés aisée. De toute façon, tout le monde est content et partage. Ce genre de problèmes ne se posent même pas. Les actions se font. D'ailleurs , le temps ne nous est, ne nous serait peut-être pas compté ... Tous souriraient à la vie ; Tous recevraient le délice, le plaisir et la joie de vivre. Tous comprendraient, sauraient qu'il y va de soi, de son bien être, de son bonheur à la bonne heure, de sa chance ... Et, quelle chance . ! . Le plus simple, serait quand même d'être Magicien. Et, une fois l'éternité gagnée, il faut voir ... Rien est impossible ou possible ; Tout est une question de bases et de données. Magie, enfants, il n'y aurait peut-être plus de limites, abus, de tentation, d'engourdissement. Nous ne serions peut-être pas tous d'accord, de la couleur du ciel . Si la magie est, elle doit être donnée. Elle doit être hors de notre portée, hors de nos choix. . Des mutants, des petits lutins se seraient cachés dans la forêt, et seraient emportés par le vent. Nous parlerions Fées des bois . Les lutins envolés et la brise plus légère ... Imagination ... Des enfants devenir "grands" ; Des femmes, des hommes. Des femmes, enfants, "devenues", devenant "grands" de métamorphoses, de métaphores ... Plaisir des mots, plaisir des sens, plaisir du, des (du) partage. Tous seraient nés de la terre, sortis des dogmes et des donjons. Tous, ensemble, un même sens. Les folies ne seraient plus, ou seraient différentes ; Le partage, lui, serait bien là. Des luthiers, des arbres en fleurs ; Des corps de luthiers, des mains de poètes ; Des papillons bleu étincelants, légers, légers,, goûtant aux saveurs des vents, d'ombre et de lumière. Tout serait beau, en accord ; Riche de rêves, riche de sens, riche de ... L'imagination serait ; Nous serions peintre, chanteur ou poète. Seraient là, les blés d'or ; Les tâches envahissantes d'un bien être collectif. . Tout d ' abord, en premier lieu, un monde plein ou mieux fini, mieux rempli, à la limite des temps. Des champs de papiers dorés, de papier peints, plein de coquelicots ; des saules pleureurs au goût de soles, sol, sol ... Reflets troublants, l'Océan si grand. Fabuleux ; Harmonie, sagesse ; Papillons, métaphores ; Amants, aimants ; Champs, chants ; Rêve, imaginaire ; Création, Métamorphose ! Réflexions, mathématique. . Les enfants ne sont pas bêtes, le monde leur appartient. Il est à eux, sans être à eux, mais c'est à eux de construire, de choisir ce qui leur convient ; Ou, nous pour eux, si l'on sait, si l'on peut, si l'on se souvient. Un jardin, un parc, de la dentelle, de la tendresse, un monde comme cela pourrait-il être ? . Comment savoir ? Avons nous les mêmes rêves, les mêmes désirs, les mêmes envies ? A quel âge et comment, s'installent les différences ? Tant de questions propres, qui font déjà des différences, des nuances. Un jardin se pense, se souvient et ne s'oublie pas. Enfoui, bien profond, il s'écrit, se décrit, se définit . Plein de jardins partout, ensembles ; Celui de chacun, tous mélangés : Quelle Mégapôle ! Quelle mégasphère !! Un parc excentrique, bien à soi, dans tout ça est important. Donnez du territoire ; Améliorez, améliorons les déserts. . Écrit en 1996 . revu en 05.04.2024 Val.C, Valérie Poésie Re'belle Au CPM 'Le Colisée des Poètes Militants' entre autre's ; Une Alouette aux Point's 'rose's croi'x .
