POUR
L’AMOUR
D’un CHAT…
A notre chat TOMY
(Sept 2003/ Sept 04)
Surnommé : Toto, Tomynou, Saltomy
Pour son caractère intrépide ;
Aujourd’hui il est parti,
Triste de triste,
Il était trop petit.
Je pense à toi, je t’écrirai.
Te dirai tes quatre vérités ;
Qu’as-tu foutu ?
Incontrôlable petit mammifère,
On ne peut t’enseigner,
A peine t’éduquer, et encore, Si ton désir y est.
Petit gitan des boulevards,
Des trottoirs,
Petit furibond curieux de tout,
Aux gamelles de tous ;
Voilà, voilà,
Où tu en est.
La mort du chat…
Toto, Tomy,
Notre ami fidèle en sentiments;
Du Saltomy au ¨Oui¨ Tomy
Toujours le sourire.
Tes canines aux chevilles
Pour qu’on court derrière toi,
Amusant ceux que tu cotois.
Ce petit chat, si reluisant de sympathie
Si à l’écoute quand on l’appelle,
Aujourd’hui s’en est allé,
Aujourd’hui nous a quitté.
Il eut une belle vie,
Bien trop courte
A notre avis.
Tomy, Pour ton souvenir
d’une année si vite passée,
Petit Tomy, splendide,
Joli comme jamais,
Tu vas beaucoup nous man- quer,
On ne va pas, de si vite, t’ou- blier.
Dans les WC tu es tombé,
L’évier et sortir pour évacuer
Tu as préféré,
M’évitant toutes les corvées.
Carnivore tu étais
Tant souviens-tu ? …
Le difficile que tu faisais.
Petit courageux,
Petit téméraire,
Petit guerrier d’amour,
Petit combattant au cœur ten- dre,
Tu testais,
Cherchais,
Mordillais,
T’entraînais à chasser ;
T’en souviens-tu ?…
Cela t’a emporté.
Une vipère t’a serrée.
Pas comme celle
Que tu avais apportée
comme un trophée
Celle si plus futé
T’a lacéré ;
Toi fuyant
Nous choqués,
Tu es resté sur le bas côté,
Sous cet arbre inanimé.
Petit Tomy,
Notre cher, tout petit,
Tout Grand Ami,
On veut que tu vives
Par ces écrits… à l’Infini…
Toto, Tomy,
à Toi l’Ami
Faisant partie de la famille,
De la vie d’ici.
Toto, Tomy,
Petit chat
Presque tout blanc,
Héroïque en ton genre,
Unique en ton style..
Encore, tu va vivre,
Encore,
Quelqu’un me l’a dit :
Gentil Chatounet,
Si vite oublié !!!
Un futur minounet
Pour te remplacer.
Tomynou, notre Tomy…
NON… Moty
Il s’appellera Moty,
Grâce, ou, à cause de Toi, Tomy.
Tigré, … Mais surtout,
Deux taches rousses sur les côtés
Pour te ressembler,
Ne pas t’oublier.
Cela vient trop vite, à mon goût.
Tourner, passer si vite la page !!
Chatounet à sa maman,
T’en souviens-tu ??
Ta vraie mère
Vous avait délaissé
Toi et ton frère,
Allaitant les femelles.
Solide, tu avais forci,
Petit, sportif, intrépide,
Caractériel à ton aise ;
Et quel joueur de billes…
Tu courrais derrière elles,
Les choppais,
Les déposais à nos pieds ;
Une fois lancées,
Tu jouais, rejouais avec elles,
Les guettais,
T’entraînais encore à chasser.
Moty, Moty,
Motivés,
Nous allons y arriver
Sans t’oublier.
Mon, Notre
Chatounet d’amour adoré,
Tu vivras dans nos pensées ;
Et ceci, n’est pas terminé,
Tomynou,
Notre ami fidèle en sentiments
Continuera à l’être.
Encore je vais te parler,
Encore je vais te raconter,
Jusqu’à que je finisse
par un peu t’oublier,
Sans t’oublier…
La mort du chat,
La mort des Hommes…
Cela va si vite parfois,
Cela ne prévient pas.
Et La Vie Dans Tout Ca ??
La Vie,
C’est le Présent qui se poursuit.
C’est ces êtres qui pleurent,
qui pensent :
Sans Vous…
La Vie,
C’est bien souvent
ce que l’on oublie,
Si dure parfois…
Mon petit Tomy,
Demain Moty… Ca c’est la vie.
Et voilà,
Il est là,
Petit joueur.
Tomy,
Nous te regrettons
à la maison ;
Et Moty
s’avère être
Une Motyva,
de motivation.
Elle est gentille,
belle,
mais elle va
dans la poubelle ;
Elle monte
sur le cocotier
de Manuel ;
Elle nous observe
et nous guette,
plus que toi,
mais ne réponds pas,
ne parle pas,
peut-être ça viendra.