¨Derniers Signes…¨ de Thierry
Quand je vous ai connu, vous aviez le sourire,
Vous paraissiez belle des profondeurs du ciel.
Vêtue d’une splendeur, un regard de mer-veille,
Vous n’étiez que de loin difficile à décrire
.
Quand je vous admirais dans l’ombre de mon cœur,
Il n’eut de point de beauté outre votre présence,
Je n’avais pas de mot, tant était mon silence,
Et j’ai trouvé en vous le plus grand des bonheurs.
Hélas, mon rêve est mort ; vous vous éloignez…
Non qu’inquiet et soucieux, j’éprouvais une peine ;
Me sentir près de vous, vivre dans votre veine,
M’est qu’un violent désir… mais vous me dédaignez.
Souvent je pense à vous, de sorte que je meurs
Dès que vous n’êtes plus là. Votre absence est chagrin.
Eternelle souffrance et horrible Destin !
¨Nathalie, revenez… ayez cette faveur¨.
(Pour une personne nommée valérie
Que je .. connais pas et me souris…)