J’ai cru à la bonté de l’homme, autant que j’ai pu croire à la beauté de la femme.
Mais l’Erreur est humaine et doit servir. Les déci-deurs, eux aussi, restent humains et peuvent se tromper.
La société est l’intérêt de chacun, Et, c’est avec les différences que nous de-vons établir les règles. Une vérité commune à tous.
Si l’on veut, une société ou il fait bon vivre, alors, il faut que chacun y met-te du sien.
J’ai un très grand défaut, passer du coq à l’âne.
L’Art appartient aux gens de la rue.
Il faudrait des révolu-tionnaires pour changer tout, une équipe entière pour former des troupes. Utiliser les intelligences, utiliser les principes et les fondements, utiliser les absences, utiliser, user des problèmes, des sou-cis quotidiens.
Car, dans ce monde où tout n’est que douleur ou festivité aveugle, nous commençons tous à res-sentir un mal.
La vérité, à force de dou-leurs, s’inscrit, petit à pe-tit.
Refusons de manger ce que société nous donne ; Nous avons crée nos be-soins et oublié l’Essentiel.
Mon Dieu !! Que diable que ce Fer !!!… Nous n’o-sons plus mettre les mains dans la merde !!
Etre en vie après guerre.
La Mère partit. Vive la Mère Patrie,
Je garde un aspect lu-cratif et concret, je suis, je reste comme avant.