POESIE  PERSONELLE,  Parfois, Souvent REBELLE ...

          POESIE  Pour ENFANT : Ronde Continue ...

                                                         POESIE, poésie                 

Ne pas accepter celui qui joue. Quand il n’y a plus de sentiments, il n’y a plus d’homme.

J’ai une peine qui a le sourire, de t’avoir ren-contré, mais que mon corps porte en deuil.

Déterminée à jamais, je n’aime être aimée, et pourtant !! Besoin d’ai-mer être désiré, pour être rassuré.
Il faut bien mettre des couleurs : Nécessaires à notre bonheur. Et je veux bien accepter les joies et les plaisirs du jeu de l’a-mour puisque, mon corps a été permis de cela.

Si je te dis pourquoi je t’aime, il faut que je te dise pourquoi je te dé-teste : 

Tu t-es présenté, Je t’ai écouté, observé, soulagé, aidé, aimé ; Tu m’as… !!
Tu vas toi parler d’a-mour, alors, que tu n’es même pas un ami ?
On se sépare, on se dé-chire, on se pique, on s’improvise ; En défini-tive, on s’abîme.

Par moments, il sait ce que je vaux et, il m’offre; Mais il croit qu’il vaut plus que les autres du fait de m’avoir à ses côtés.

Si tu n’es pas digne de ta femme ; Comment pour-rais-tu l’être d’une au-tre ???
 


 
 



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