Je m’abandonne dans la pensée, Laissant voir certaines vérités. Des mots justes à la pensée, Sans les avoirs lus, Sans les avoirs connus, Mais juste entendus par le passé Et jusque là, Incompris et sans raison.
Des mots se mettent à résonner, et raisonner. Intuitivement, Ils se placent, Ils s’installent, S’imposent aux phrases.
Poussés, entraînés Par l’envie de dire, Je les reçois sans limite Pour écrire… Mais des mots, des lignes, des pages de savoir me manquent, pour lire l’esprit et être comprise.
La connaissance, la conscience De mon propre oubli, me meurtrit. Mais combattant sans relâche Contre le mal, Contre mon mal, Je continuerai, poursuivrai, Insisterai ma vie durant, A les entendre, les recevoir et les dire.
Me consolerai de savoir par expérience, Qu’une évolution doit être sage et posée, Etre bien comprise, bien acquise, Pour être gérée et rendue Utile.